Pourquoi et comment est-ce que ça marche?
Fut un temps on luttais : CONTRE les nuisibles, CONTRE les moisissures, CONTRE les maladies, CONTRE les mauvaises herbes. C’étaient souvent des moyens qui tuaient quelque chose : poux, souris, mouches, etc., …
Apres cela nous somme passé à l’ère de la PROTECTION. Mieux vaut prévenir que guérir. Dans la serre, nous voulions PROTEGER les plantes contre le danger. Nous avons fermé toutes les fenêtres et portes, veillé à que l’hygiène soit bonne, faisons en sorte à ce que nos plantes soit dans un environnement serin.
Jusqu’à ce que l’on comprenne qu’une plante n’est pas aussi délicate ou sensible qu’on pourrait le croire !
Une plante qui se sent bien est forte et veux pousser ! Elle se protégera contre les maladies et les ennemies.
Et cela peut être favorisé par les même substance, mécanismes, et animaux qui la soutiennent pour survivre dans la nature !
Donc cercle biologique s’est développé.
C’est aussi un EQUILIBRE. Un acarien prédateur a besoin d’une seule mouche à manger. Donc il y aura toujours quelques mouches qui survivent. C’est aussi l’art à utiliser afin qu’aucun acarien prédateur que la population des mouches reste si basse que vous ne pouvez voir leurs largages sur les feuilles. Or qu’ils pourraient perforer occasionnellement une feuille mais pas toutes les feuilles.
Nous ne dirons jamais que vous ne trouverez pas une pauvre mouche ou un escargot dans vos plantes. En fait, la présence d’une seule mouche sur une magnifique plante prouve que nous travaillons biologiquement ! Nous cherchons le seuil de dommage acceptable !
Bon pour la nature et bon pour le poisson dans votre aquarium !
C’est plus difficile mais aussi plus fascinant et plus sains que ce que nous avions l’habitude de faire. Vous êtes obligés à approfondir votre connaissance de la plante, ses circonstances et ennemies.
Donc, vous devriez surveiller les plantes chaque semaine, non, même chaque jour.
Non pas parce que tout le monde prête attention. Ce n’est pas suffisant. Chez Songrow, nous avons 5 personnes qui ont la responsabilité explicite d’évaluer les plantes. Chaque jour, ils gardent leurs yeux grands ouverts et chaque semaine, ils discutent des détails avec le spécialiste de la protection de la récolte de notre fournisseur. Ils décident ensemble quelle est la marche à suivre et comment répandre par exemple les animaux. Donc ne pensez pas que vous commencez à utiliser la protection de la récolte biologiques, vous n’avez plus la responsabilité d’obtenir votre licence d’utilisation de produits chimiques ! Bien au contraire. Vous devrez maintenant approfondir !
Vous verrez sur le côté quelques photos de notre spécialiste de laprotection de la récolte Peter Vijverberg, occupé avec les ennemis naturels.